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Au cours des journées, le bouche-à-oreille s’était étendu au-delà du cercle de départ d’habitués, augmentant des gens curieuses d’approcher l’univers de la voyance gratute, tel qu’il semblait rambiner dans cette maison chargée d’histoire. Parmi elles, on comptait de jeunes collectionneurs de communications inexplicables, mais aussi des retraités satisfaits de voir un endroit où l’échange se désirait évident et aimables. Au rez-de-chaussée, Madeleine prenait soin de lire une terminale fois les répertoires de Michel, désireuse de n’omettre aucun détail susceptible d’enrichir la programmation. Les annotations qu’elle y avait relevées suggéraient qu’autrefois, la demeure rapportait conjointement des séance de voyance gratute et de quelques instants d’enseignement sur la confection d’objets traditions. On y relatait également des veillées consacrées à la méditation ou à la prière pour celle qui traversaient des épreuves douloureuses. 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